mardi 25 décembre 2012

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منهجية القصة والاقصوصة لشعبة العلوم الشرعية

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lundi 24 décembre 2012

Résumé d'Antigone de Jean Anouilh


Tragédie en prose , en un acte.

Le personnage baptisé le Prologue présente les différents protagonistes et résume la légende de Thèbes ( Anouilh reprend cette tradition grecque qui consiste à confier à un personnage particulier un monologue permettant aux spectateurs de se rafraîchir la mémoire. Le Prologue replace la pièce dans son contexte mythique). Toute la troupe des comédiens est en scène. Si certains personnages semblent ignorer le drame qui se noue, d'autres songent déjà au désastre annoncé.

Antigone rentre chez elle , à l'aube, après une escapade nocturne. Elle est surprise par sa nourrice qui lui adresse des reproches. L'héroïne doit affronter les questions de sa nounou. Le dialogue donne lieu à un quiproquo . La nourrice prodigue des conseils domestiques ( " il va falloir te laver les pieds avant de te remettre au lit") tandis qu'Antigone évoque son escapade avec beaucoup de mystère ( " oui j'avais un rendez-vous") . Mais elle n'en dira pas plus.

La nourrice sort et Ismène, la sœur d'Antigone, dissuade cette dernière d'enfreindre l'ordre de Créon et d'ensevelir le corps de Polynice. Ismène exhorte sa sœur à la prudence ("Il est plus fort que nous, Antigone, il est le roi") . Antigone refuse ces conseils de sagesse . Elle n'entend pas devenir raisonnable.

Antigone se retrouve à nouveau seule avec sa nourrice. Elle cherche à surmonter ses doutes et demande à sa nourrice de la rassurer. Elle tient aussi des propos ambigus pour ceux ( et c'est le cas de la nourrice) qui ne connaissent pas son dessein . Elle semble décidée à mourir et évoque sa disparition à mots couverts " Si, moi , pour une raison ou pour une autre, je ne pouvais plus lui parler...".

Antigone souhaite également s'expliquer avec son fiancé Hémon. Elle lui demande de le pardonner pour leur dispute de la veille. Les deux amoureux rêvent alors d'un bonheur improbable. Sûre d'être aimée , Antigone est rassurée. Elle demande cependant à Hémon de garder le silence et lui annonce qu'elle ne pourra jamais l'épouser. Là encore , la scène prête au quiproquo : le spectateur comprend qu'Antigone pense à sa mort prochaine, tandis qu'Hémon , qui lui n'a pas percé le dessein d'Antigone, est attristé de ce qu'il prend pour un refus.

Ismène revient en scène et conjure sa sœur de renoncer à son projet. Elle affirme même que Polynice, le "frère banni", n'aimait pas cette sœur qui aujourd'hui est prête à se sacrifier pour lui.

Antigone avoue alors avec un sentiment de triomphe, qu'il est trop tard, car elle a déjà , dans la nuit, bravé l'ordre de Créon et accompli son geste " C'est trop tard. Ce matin , quand tu m'as rencontrée , j'en venais."

Jonas, un des gardes chargés de surveiller le corps de Polynice, vient révéler à Créon, qu'on a transgressé ses ordres et recouvert le corps de terre. Le roi veut croire à un complot dirigé contre lui et fait prendre des mesures pour renforcer la surveillance du corps de Polynice. Il semble également vouloir garder le secret sur cet incident : " Va vite. Si personne ne sait, tu vivras."

Le chœur s'adresse directement au public et vient clore la première partie de la pièce. Il commente les événements en exposant sa conception de la tragédie qu'il oppose au genre littéraire du drame. Le chœur affiche également une certaine ironie et dévoile les recettes de l'auteur : "c'est cela qui est commode dans la tragédie. On donne un petit coup de pouce pour que cela démarre... C'est tout. Après on n'a plus qu'à laisser faire. On est tranquille. Cela roule tout seul."

Antigone est traînée sur scène par les gardes qui l'ont trouvée près du cadavre de son frère. Ils ne veulent pas croire qu'elle est la nièce du roi , et la traitent avec brutalité. Ils se réjouissent de cette capture et des récompenses et distinctions qu'elle leur vaudra.

Créon les rejoint. Les gardes font leur rapport . Le roi ne veut pas les croire. Il interroge sa nièce qui avoue aussitôt. Il fait alors mettre les gardes au secret, avant que le scandale ne s'ébruite.

Créon et Antigone restent seuls sur scène. C'est la grande confrontation entre le roi et Antigone. Le roi souhaite étouffer le scandale et ramener la jeune fille à la raison. Dans un premier temps , Antigone affronte Créon qui tente de la dominer de son autorité.

Les deux protagonistes dévoilent leur personnalité et leurs motivations inconciliables. Créon justifie les obligations liées à son rôle d'homme d'état . Antigone semble sourde à ses arguments : (Créon : Est ce que tu le comprends cela ? Antigone : " Je ne veux pas le comprendre.") . A court d'arguments Créon révèle les véritables visages de Polynice et d'Etéocle et les raisons de leur ignoble conflit. Cet éclairage révolte Antigone qui semble prête à renoncer et à se soumettre. Mais c'est en lui promettant un bonheur ordinaire avec Hémon, que Créon ravive son amour-propre et provoque chez elle un ultime sursaut. Elle rejette ce futur inodore et se rebelle à nouveau. Elle choisit une nouvelle fois la révolte et la mort.

Ismène , la sœur d'Antigone entre en scène alors que cette dernière s'apprêtait à sortir et à commettre un esclandre , ce qui aurait obligé le roi à l'emprisonner. Ismène se range aux côtés d'Antigone et est prête à mettre elle aussi sa vie en jeu. Mais Antigone refuse , prétextant qu'il est trop facile de jouer les héroïnes maintenant que les dés ont été jetés. Créon appelle la garde , Antigone clôt la scène en appelant la mort de ses cris et en avouant son soulagement ( Enfin Créon !)

Le chœur entre en scène. Les personnages semblent avoir perdu la raison, ils se bousculent. Le chœur essaye d'intercéder en faveur d'Antigone et tente de convaincre Créon d'empêcher la condamnation à mort d'Antigone. Mais le roi refuse , prétextant qu'Antigone a choisi elle-même son destin, et qu'il ne peut la forcer à vivre malgré elle.

Hémon vient lui aussi, ivre de douleur, supplier son père d'épargner Antigone, puis il s'enfuit.

Antigone reste seule avec un garde. Elle rencontre là le "dernier visage d'homme". Il se révèle bien mesquin, et ne sait parler que de grade et de promotion. Il est incapable d'offrir le moindre réconfort à Antigone. Cette scène contraste, par son calme, avec le violent tumulte des scènes précédentes. Apprenant qu'elle va être enterrée vivante, éprouvant de profonds doutes ( " Et Créon avait raison, c'est terrible maintenant, à côté de cet homme, je ne sais plus pourquoi je meurs." , Antigone souhaite dicter au garde une lettre pour Hémon dans laquelle elle exprime ses dernières pensées. Puis elle se reprend et corrige ce dernier message ( "Il vaut mieux que jamais personne ne sache"). C'est la dernière apparition d'Antigone.

Le messager entre en scène et annonce à Créon et au public la mort d'Antigone et la mort de son fils Hémon. Tous les efforts de Créon pour le sauver ont été vains. C'est alors le chœur qui annonce le suicide d'Eurydice, la femme de Créon : elle n'a pas supporté la mort de ce fils qu'elle aimait tant. Créon garde un calme étonnant . Il indique son désir de poursuivre " la salle besogne " sans faillir. Il sort en compagnie de son page.

Tous les personnages sont sortis. Le chœur entre en scène et s'adresse au public : Il constate avec une certaine ironie la mort de nombreux personnages de cette tragédie : "Morts pareils, tous, bien raides, bien inutiles, bien pourris." La mort a triomphé de presque tous . Il ne reste plus que Créon dans son palais vide . Les gardes , eux continuent de jouer aux cartes , comme ils l'avaient fait lors du Prologue. Ils semblent les seuls épargnés par la tragédie. Ultime dérision.

رواية La Boîte à Merveilles كاملة للتحميل


télécharger La Boîte à Merveilles - Complète


La Boite à Merveilles D'Ahmed Sefrioui 


http://www.filesin.com/42C76188048/download.html

Conseils pour réussir

-Pour réussir ses études, il existe des solutions qui sont loins d'être miraculeuses. De ce fait, il faudrait se mettre dans la tête que :


-L'examen ne se prépare pas 15 jours ou une semaine avant, mais il se prépare depuis le commencement des cours, voire depuis la première séance.


-La révision des cours est primordiale, et il est très bénéfique qu'elle devienne une habitude journalière. Quand vous rentrez chez vous, révisez le cours que vous venez juste de voir, une vingtaine de minutes sera très suffisante pour bien fixer les concepts récemment vus


-Une bonne compréhension du cours c'est la phase qui vient avant les exercices. Il est très utile de se tester par les exercices déjà fait en classe pour vérifier sa bonne compréhension.


-Parfois il est important de passer par des livres pour améliorer son niveau, mais il ne faut surtout pas s'y perdre! Demandez conseil à des professeurs.


-Apprenez à prendre des notes lors des séances de cours, c'est en quelque sorte la méthode miraculeuse!! L'expérience a montré que le professeur en expliquant parle beaucoup et écrit peu. Faites en sorte de noter ce qu'il dit, un bloc-notes "brouillant" est indispensable pour ne pas finir avec un support farouche. L'étape qui devrait suivre : refaire le cours -en introduisant aussi les notes prises- vous-même une fois rentré à la maison


-Concentrez-vous pour ne pas perdre le fil dans les séances


-Ne gaspillez pas votre temps, ni votre énergie en des futilités. Il y'a dans cette vie pleines de choses à découvrir, et il y'a au fond de chacun de nous plein de choses à exploiter!


-Souriez, même si vous rencontrez l'échec, c'est un bon professeur! Passez vite à l'action pour reconnaître où résidaient les lacunes. Une fois vous y mettez le doigt; vous pouvez dire "bienvenue" aux réussites.

la boite à merveilles en arabe

la boite à merveilles en arabe 12 chapitres

Chapitre 1
الصفحة 3: يتكلم الحاكي عن وحدته التي يحس بكل ثقلها والتي تعود أسبابها إلى سن السادسة
الصفحة 4: يصف منزل العرافة والطقوس التي كانت تقوم بها هذه الأخيرة مرة في الشهر، بحيث كانت تستدعي جمعية "كناوة" فيقومون في منزلها بطقوسهم الخاصة والتي كان يشاهدها الحاكي من منزلهم في الطابق الثاني
الصفحة 5: يقدم لنا دار الشوافة (سكان دار الشوافة)
الصفحة 6، 7، و8: يحاول الحاكي أن يقول للقارئ بأنه كان طفلا يختلف عن باقي الأطفال بحيث كان يؤمن بالعالم اللامرئي، على خلاف رفاقه الذين كانوا يكتفون بالمرئي وكانوا فقط يحاولون تقليد الآخرين، أما هو فكان لا يريد أن يقلد بل كان يريد أن يعرف ويكتشف حقائق العالم اللامرئي، وما زاد من تفكيره هذا هو حكايات عبد الله صاحب الدكان وكذلك حديث أبيه عن الآخرة وعن الجنة والنار
الصفحة 9، 10 و11 والفقرة الأول من الصفحة 12: يسرد ذكرى ذهابه مع أمه الى حمام النساء ويصف ذلك العالم النسوي بطريقة سلبية بحيث شبهه بالجحيم وقال بأنه فقط ملتقى للنميمة والغيبة والإشاعات
الصفحة 12 و13: يتكلم عن علبته ودورها في حياته وعلاقته الحميمية التي كانت تربطه بالأدوات المتواجدة فيها
الصفحة 13 و14: يقول بأن الأيام التي كانت تلي يوم الحمام تكون خاصة بتمثيل الحصة (حصة الحمام) من طرف أمه أمام كل الجارات، بحيث كانت تمثل وتقلد كل الحاضرات في هذه الحصة. ويقول الحاكي بأنه كان لا يحب تلك الطريقة التي كانت تتكلم بها أمه
من نهاية الصفحة 14 إلى نهاية الفصل الأول: يسرد لنا بالتفاصيل يوم شجار أمه مع الجارة "رحمة"، وكان يوم الإثنين بحيث كان هذا اليوم، حسب الأعراف المتفق عليها، كان يوم التصبين المخصص لأم الحاكي (لالة زبيدة) لكن استيقظت رحمة بالفكرة المشئومة وحاولت أن تصبن في ذلك اليوم، الشيء الذي كان سببا في شجار دراماتي
Chapitre 2
يتحدث الحاكي عن يوم الثلاثاء، اليوم المشئوم لكل أطفال المسيد، بحيث كان مخصصا لاستعراض كل ما حفظوه من القرآن، نظرات "الفقيه" في هذا اليوم مخيفة ولا توحي بأي حنان ولا شفقة. بعد عودته إلى المنزل للغداء، وجد أمه تعاني من ألم في رأسها (الشقيقة) وجاءت لالة عيشة (صديقة أمه وجارتها قديما) وأقنعت لالة زبيدة بالذهاب إلى "سيدي اعلي بوغالب"، فكان ذلك اليوم فرصة بالنسبة للطفل لاكتشاف "عالم السيد" وخرافات واعتقادات النساء والطقوس التي تقام هناك بحيث أنه وصف لنا الرحلة كاملة، لكن في آخر الزيارة اقترب الطفل من قطيع من القطط وبدأ يلمس قطا ذكرا فكانت من هذا الأخير هدية مؤلمة وضربة صائبة. في الغد صباحا سمع أباه يقول لأمه ويطلب منها بأن لا ترسله الى "المسيد" لأنه ما زال متعبا، فكانت أمام الطفل عطلة يومين ونصف ليعيش مثل أمير وبعيدا عن عصا "السفرجل". بعد ذلك يصف لنا الحاكي كيف كان يمر الصباح في دار الشوافة، وتحيات الجارات فيما بينهن والكلام الروتيني والأقوال المعتادة التي كانت ترددها النساء كل صباح. يتكلم بعد ذلك عن "ادريس" الذي كان يعمل عند أبيه والذي كان في نفس الوقت يتكلف بالمشتريات اليومية
Chapitre 3
يبدأ الحاكي بوصف دقيق لما يحدث في المسيد، الأطفال يتلون القرآن والفقيه نائم وفي يده العصا الطويلة، في كل مرة يستيقظ، يضرب ضربة أو ضربتين كل من وجده أمامه ثم يعود الى نومه. في المساء حثت الأم على زوجها بأن يشتري لها قنديلا (لامبا) لأن "فاطمة البزيوية" (الجيران) اقتنت واحدا، مؤكدة أنه لم يعد هناك أحد يستعمل الشمع، الشيء الذي قام به أبوه في الغد بحيث فوجئ الطفل بعد عودته من المسيد بقنديل معلق في بيتهم. بعد ذلك، يسرد لنا الحاكي ذكرى اختفاء "زينب" (بنت رحمة) (بحيث كانت مناسبة لأمه للتصالح مع رحمة) وكيف نجحت أمه في إيجادها في منزل الإدريسيين، منزل يجتمع فيه المختفون والمشردون من العجزة والأطفال، بعد ذلك قامت رحمة بتحضير وليمة للفقراء (الصدقة) حمدا لله على أنها وجدت بنتها
Chapitre 4
نحن في بداية الربيع، قامت الأم وإبنها بزيارة "لالة عيشة". لقد لقد كان يوم الغيبة والإشاعات والثرثرة بالنسبة للمرأتين، وكان يوم اللعب مع أطفال الجيران بالنسبة للحاكي-الطفل-، لعب انتهى بخصام وبكاء. في الغد حكت الأم لزوجها عن آلام وأحزان لالة عيشة ومشكلة زوجها "مولاي العربي" مع شريكه "عبد القادر". بعد ذلك سيتكلم الأب أمام الإبن- الحاكي (سيدي محمد) عن عبد الله "صاحب الدكان" الذي كان معروفا بالحكايات
Chapitre 5
لقد كان يوم الأربعاء، الفقيه شرح لتلاميذه وتكلم لهم عن مشروعه لعاشوراء. في المنزل لم تتعب لالة زبيدة من سرد مشاكل وأحزان لالة عيشة لكل الجارات، وكلما حكت لإحداهن تطلب منها أن تحافظ على السر ثم تنتقل الى الأخرى لتحكي لها وتطلب منها نفس الطلب. بعد ذلك يسرد لنا الحاكي ذكرى وفاة الحلاق "سيدي محمد بن الطاهر"
Chapitre 6
أثناء التحضيرات لعاشوراء في المسيد، نظم الفقيه العمل وشكل الفرق. لقد عُين الطفل "سيدي محمد" رئيسا لفرقة التنظيف. عاد الطفل فرحا الى المنزل ومفتخرا أمام آباءه ومؤكدا لهم أنه لولاه لما تمت الأشياء على ما يرام. في الغد صباحا رافق أمه الى "القيسارية" من أجل اقتناء ملابس جديدة بمناسبة عاشوراء. بعد عودته الى المنزل تشاجر مع الطفلة زينب. بعد ذلك يسرد لنا الحاكي حكاية "لالة خديجة" مع زوجها "العم عثمان" التي روتها رحمة للجارات
Chapitre 7
يوما قبل عاشوراء، قامت النساء باشتراء البنادير و"سيدي محمد" مزمارا. بعدما شارك كعادته في التحضيرات اليومية في المسيد، رافق أباه عند الحلاق وهناك سمع حديث الكبار بدون أن يعير لذلك اهتماما. يوم عاشوراء استيقظ الطفل مبكرا ولبس ملابسه الجديدة فذهب إلى المسيد للإحتفال بهذا اليوم الإستثنائي. بعد الوجبة، جاءت لالة عيشة لزيارتهم
Chapitre 8
الآن انتهت أجواء الحفلة والحياة عادت الى رتابتها ومللها. الأيام الأولى من الحرارة بدأت تظهر (الصيف). تعليم القرآن لم يعد في المسيد لأنه مكان غير مناسب في الصيف نظرا للحرارة المرتفعة، بل تحول الى معبد (سّد) مجاور للمسيد. الطفل أصبح يحفظ جيدا والأب يفتخر ويغمره العجب والافتخار كلما تكلم له الفقيه عن إبنه. رافق الطفل أمه وأبيه وفاطمة البزيوية الى السوق من أجل أن تشتري لالة زبيدة (الأم) بعض المجوهرات (دمالج)، لكن الأب دخل في شجار (عراك يدوي) عنيف مع سمسار (دلال: الذي يتوسط في البيع والشراء)، عاد الطفل وأمه وفاطمة البزيوية إلى المنزل في انتظار أخبار الأب الذي عاد في آخر اليوم حاملا المجوهرات للأم التي رفضتها لأنها تعتقد أنها بمثابة نذير شؤم وستكون سببا في إفلاس العائلة. مشاكل وأحزان لالة عيشة لم تنتهي بعد، فقد تركها زوجها وتزوج امرأة أخرى "بنت الحلاق السي عبد الرحمان"
Chapitre 9
لقد فقد الأب رأسماله بأكمله. قرر بيع المجوهرات والذهاب للعمل في نواحي فاس (يعمل في الحصاد). سيدي محمد ما زال مريضا ويعاني من الحمى. لقد عاش حدث ولحظة خروج أبيه من المنزل كأكبر دراما وأكبر حزن عاشه في حياته. في أحد الأيام زارت لالة زبيدة صديقتها لالة عيشة التي اقترحت عليها زيارة مشعوذ وعراف مشهور يدعى "سيدي العرافي"
Chapitre 10
نصائح ودعوات وبركات سيدي العرافي قد طمأنت المرأتين. أُعجب الطفل بالعراف الأعمى. كانوا كل أسبوع يذهبون لزيارة معبد (سيد). توقعات وتكهنات سيدي العرافي قد تحققت، لقد جاء مبعوث (رسول) من القرية يحمل مشتريات ونقود وأخبار سارة عن الأب. لالة عيشة استضافت لالة زبيدة، لديها مفاجأة، يبدو أن زوجها عاد الى المنزل (أو سيعود الى المنزل)
Chapitre 11
الشاي وحديث النساء في منزل لالة عيشة، من بينهن "سلمة"، المرأة التي كان لها دور في زواج مولاي العربي من بنت الحلاق، وقد جاءت لتعترف بخطئها وتطلب السماح من لالة عيشة، وأخبرتهن أنه سيتم الطلاق قريبا بين مولاي العربي وزوجته الثانية
Chapitre 12
عاد أب الطفل "مولاي عبد السلام" وعاد الفرح الى المنزل
مولاي العربي قد طلق زوجته الثانية وعاد الى لالة عيشة
في آخر الرواية يعود الحاكي الى علبته، علبة العجائب ليقتسم معها سعادته ووحدته

analyse de La boite à merveilles

Fiche de lecture:

Titre: La boîte à merveille

Genre: Roman

Auteur: Ahmed Sefrioui

Date de parution:1954

Edition: Librairie des Ecoles.

L’auteur:
Ahmed Sefrioui est un écrivain marocain qui passe pour l’initiateur de la littérature marocaine d’expression française. Il est né à Fès en 1915 de parents Amazighs. Il a grandit dans la médina, d’où la présence prégnante et cet espace dans son œuvre et particulièrement dans “la Boîte à merveilles”.

Sefrioui fut fondateur du musée Al Batha à Fès, une ville omniprésente dans la majorité de ses écrits. De l’école coranique aux écoles de Fès puis arrivé à la langue française, se manifeste tout un parcours qu’on trouve aussi présent dans ses écrits (historiques). Jeune journaliste dans « l’action du peuple », puis conservateur dans le musée « Addoha » à Fès, en citant des fonctions publics à partir de 1938 aux ministères de la culture, de l’éducation nationale et du tourisme à Rabat. Il est mort en 25 février 2004.

Schéma narratif :
-Etat initial :

L'auteur-narrateur personnage vit avec ses parents. Rien ne perturbe sa vie heureuse. Cette phase occupe une place importante dans le récit (Ch. I jusqu'au Ch. VIII). L'ampleur de cette étape traduit la félicité dans laquelle baigne le petit enfant. D'ailleurs, il est plongé dans un monde merveilleux.

-Elément perturbateur :

Ce qui trouble cette félicité c'est la ruine du père qui a perdu son capital : l'argent qu'il portait sur lui est tombé quelque part dans un souk.

-Péripéties :

Le voyage du père à la campagne, où il exerce un travail pénible afin de pouvoir amasser de l'argent nécessaire pour se rétablir dans son atelier. (Ch. VIII, IX, X, XI). Le congé accordé au petit qui ne va pas à l'école coranique à cause de sa faiblesse. La tristesse de la mère qui se rend aux mausolées et consulte les voyants.

-Dénouement :

Le retour du père.

-Situation initiale :

Le retour de l'équilibre : le bonheur. La réouverture par le petit de sa boite à Merveilles.


Les personnages principaux de l'œuvre :

Je :

C'est l'auteur-narrateur-personnage. Il est le fils de lalla Zoubida et de Sidi Abdeslem. Il s'appelle Sidi Mohamed.âgé de six ans, il se sent seul bien qu'il aille au M'sid. Il a un penchant pour le rêve. C'est un fassi d'origine montagnarde qui aime beaucoup sa boite à Merveilles, contenant des objets mêlés. Il souffre de fréquentes diarrhées



La boite à merveille :
Le véritable ami du narrateur. Elle contenait des boules de verre, des anneaux de cuivre, un minuscule cadenas sans clef, des clous à tête dorée, des encriers vides, des boutons décorés, des boutons sans décor, un cabochon (=bouchon en verre ou en cristal de forme arrondie) de verre à facettes offert par Rahma et une chaînette de cuivre rongée de vert-de-gris offerte par Lalla Zoubida et volée par le chat de Zineb

Lalla Zoubida :

la mère du narrateur. Une femme qui prétend être la descendante du prophète et s'en vante (s'en flatte). Elle croit aux superstitions. Ses yeux reflètent une âme d'enfant ; elle a un teint d'ivoire, une bouche généreuse et un nez court. Elle n'est pas coquette. Agée de vingt-deux ans, elle se comporte comme une femme vieille.

Sidi Abdeslem :

le père du narrateur, homme d'origine montagnarde. Il s'installe à Fès avec sa famille après avoir quitté son village natal situé à une cinquante de kilomètre de la ville. Il exerce le métier de tisserand (=fabriquant des tissus) Grâce à ce métier, il vit à l'aise. Homme fort et de haute taille. Un homme barbu que le fils trouve beau. Il a la quarantaine.

La chouaffa :

Voyante, c'est la principale locataire de Dar Chouaffa et on l'appelle tante kanza.

Dris El Aouad :



C'est un fabriquant de charrues. Il est époux de Rahma. Il a une fille âgée de sept ans qui s'appelle Zineb.

Fatma Bziouya :



Elle partage avec la famille du narrateur le deuxième étage, son mari Allal est jardinier.

Abdelleh :

Il est épicier. Le narrateur lui attribue toutes les histoires merveilleuses qu'il a eu l'occasion d'entendre.

Le fqih du Msid :

Maître de l'école coranique. Il somnole pendant que les écoliers récitent les versets du Coran. Il distribue des coups de baguette au hasard.

Un grand maigre à barbe noire, dont les yeux lançaient des flammes de colère et qui habitait rue Jiaf.

Lalla Aicha :

Une ancienne voisine de lalla Zoubida, c'est une Chérifa qui a su rester digne malgré les déception du sort et dont la connaissance flattait l'orgueil de lalla Zoubida.

Driss le teigneux :

Fidèle serviteur de Sidi Abdessalem, il garnissait (= remplissait) les canettes et faisait les commissions.

Résumé chapitre par chapitre le dernier jour d'un condamné

Résumé chapitre par chapitre du dernier jour d'un condamné

Résumé du chapitre I :

Le roman s’ouvre par une réflexion sous forme d’un monologue interne :
Interprété dans sa cellule de Bicêtre, le narrateur se rappelle son passé de liberté cependant il se trouve prisonnier de l’idée de sa condamnation à mort. Cette pensée l’obsède et infecte sa vie. Elle est présentée comme une femme à deux bras qui le secoue, hante ses rêves et le poursuit partout.
Résumé du chapitre II :

Récit de la proclamation de la condamnation à mort :
Le narrateur relate les événements passés le jour de la proclamation de sa condamnation à mort. Il décrit aussi les juges, les jurés, la salle d’audience, l’atmosphère qui y régnait et les gens qui ont assisté à son procès. Séduit par les lumières, par les couleurs, par les bruits, le narrateur chante la vie à travers ses sensations et ses impressions dans une ambiance totalement contradictoire. Alors qu’il semble apprécier la vie dans toutes ses dimensions, les jurés le condamnent à mort et brisent son espoir. Tout redevient noir et triste à ses yeux.
Résumé chapitre III

Retour au monologue interne :
Le narrateur se livre à une réflexion sur le bien-fondé de sa condamnation à mort. Il estime que les humains sont tous des condamnés à mort. Ce qui diffère c’est la manière et le temps.
Résumé chapitre IV

Retour au récit de l’incarcération à Bicêtre :
L’arrivée à Bicêtre. En attendant son pourvoi (=recours auprès d'une juridiction supérieure contre la décision d'un tribunal) en cassation, le narrateur est conduit à la prison de Bicêtre. De loin le prison ressemble à un château de roi mais de plus près elle est délabrée(=en ruine, dans un très mauvais état) et vétuste (=qui porte les marques de la vieillesse).
Résumé du chapitre V

Suite du récit de l’incarcération à Bicêtre :
Lorsque le narrateur est arrivé à Bicêtre, les gardes lui ont défendu tout objet tranchant qui pourrait servir à un suicide puis ils lui ont remis une camisole. Durant les premiers jours de ses séjours à Bicêtre le narrateur a été bien traité mais battu par la suite comme n’importe quel prisonnier. Cependant certaines faveurs lui ont été acceptées comme le papier, l’encre, les plumes et une lampe. De même, il pouvait sortir dans la cour chaque dimanche, ainsi il a côtoyé les autres prisonniers et a appris leur argot.
Résumé du chapitre VI

Alors le narrateur a décidé de noter son journal de châtiments. L’écriture devient une justification à la vie terne et monotone de la prison. Il décide d’écrire pour communiquer ses souffrances morales afin d’amener les décisions a abolir la peine de mort. Il réalise à qu’ il s’attache à la vie.
Résumé du chapitre VII

Le narrateur s’attarde sur sa situation et espère qu’on s’intéresserait un jour à son cas. Mais l’idée de sa condamnation continue de l’obséder et le torturer
Résumé du chapitre VIII

En attendant son pourvoi en en cassation, le narrateur passe son temps à compter les jours qui lui restent à vivre, il lui reste donc six semaines.
Résumé du chapitre IX

Le narrateur regrette de laisser derrière lui sa femme, sa mère et surtout sa fille de trois ans sans protection et sans ressources.
Résumé du chapitre X

Le narrateur décrit sa cellule, c’est une petite pièce à quatre murs en pierre avec une voûte et une petite porte en fer où il y a une petite ouverture servant de fenêtre. Il y a aussi un matelas en paille. A l’extérieur il y a un couloir qui relie les autres cellules et un garde permanent
Résumé du chapitre 11

Pour passer le temps le narrateur lit et tente de comprendre les inscriptions et les dessins sur les murs de sa cellule. Attiré par des mots écrits par un sous-officier guillotiné pour ces idées républicaines, il est pris de panique à la vue de l’échafaud dessiné sur le mur.
Résumé du chapitre 12 :

Le narrateur découvre les noms de quatre criminels célèbres passés par la même cellule. Les sont écrits à coté du nom de Papavoine, un criminel qui tuait les enfants. Il est alors pris de terreur à l’idée de la mort et du tombeau.
Résumé du chapitre 13

Récit des préparatifs au départ des forçats pour Toulon :
Le narrateur raconte qu’un jour la prison était très agitée par le départ des forçats pour Toulon, Mis dans une autre cellule pour suivre ce spectacle à travers une fenêtre, le narrateur s’attarde sur la description de la grande cour de Bicêtre, des bâtiments vétustes, des fenêtres grillées et principalement sur les visages des prisonniers qui regardent à travers ces fenêtres. Le spectacle du départ commence à midi avec l’entée (=greffer) d’une charrette transportant des chaînes servant à attacher les forçats et portant les habits qu’ils vont mettre pour le départ. Ensuite, les argousins étendent ces chaînes dans un coin de la cour. Quand ce travail est fini, l’inspecteur donne l’ordre au directeur pour laisser enter les forçats dans une petite cour où ils sont acclamés par les prisonniers / spectateurs. Puis on les présente à l’appel après leur avoir fait passer une visite médicale. Au moment où les forçats se préparent pour mettre les vêtements du voyage, une pluie torrentielle commence à tomber. Accablés de froid dans leur nudité, les forçats chantent leurs malheurs. Enfin, on les enchaîne dans des cordons que deux forgerons fixent à leurs pieds et on leur donne à manger. Ce spectacle désolant rend le narrateur enragé, il tente de s’enfouir mais il n’arrive pas et s’évanouit sur le champ.
Résumé du chapitre 14

Après s’être transporté à l’infirmerie, le narrateur a repris connaissance, il s’est enroulé ensuite dans ses draps et sa couverture dont la chaleur lui a donné l’envie de se rendormir. Mais le bruit de cinq charrettes transportant les forçats le réveille. Conduit par des gendarmes à cheval et des argousins à pieds, le convoi prend départ pour un voyage de vingt cinq jours de souffrances et de misères. Emu par ce spectacle désolant, le narrateur préfère la guillotine à la galère.
Résumé du chapitre 15

Retour au cachot, le narrateur est remis dans son cachot. L’idée de sa condamnation continue de le torturer moralement au point où il espère obtenir une grâce car il tient à la vie plus que jamais. Mais il est trop tard.
Résumé du chapitre 16

Quand le narrateur était à l’infirmerie, il avait entendu la voix d’une jeune fille de quinze ans chanter une chanson où il est question d’assassinat et de mort. Il fut terrifié parce que tout est prison à Bicêtre, tout lui rappelle la mort.
Résumé chapitre 17

Le narrateur rêve d’évasion mais son rêve ne peut être réalisé, il est interrompu par l’idée de l’incarcération et de la condamnation.
Résumé du chapitre 19

Le directeur de la prison rend visite au narrateur dans son cachot pour lui demander s’il se plaint d’un quelconque mauvais traitement. Pris de panique, le narrateur croit que l’heure de son exécution est venue.
Résumé du chapitre 20

Terrifié, le narrateur imagine la prison comme une sorte de monstre à moitié humain, à moitié objet qui le torture, le boire et le tue.
Résumé du chapitre 21

A six heures et demi du matin le narrateur a été visité dans son cachot par un prêtre puis par l’huissier (officier ministériel chargé de signifier les actes de procédure et de mettre à exécution les jugements de la Cour royale de Paris qui lui apprendre le rejet de sa demande du pourvoi en cassation et son transfert à la Conciergerie.
Résumé du chapitre 22

Le narrateur quitte son cachot et se fait conduire dans la voiture qui l’a ramené à Bicêtre vers Paris, le convoi arrive à Paris vers huit heures et demi du matin. La foule, avide de sang, s’est déjà attroupée pour ne pas manquer l’exultation.
Résumé du chapitre 23

Une fois arrivé au Palais de Justice, le narrateur s’est senti investi d’une certaine liberté qui n’a pas tardé à disparaître à la vue des sous-sols. Remis par l’huissier au directeur, le narrateur a été enfermé dans un cabinet en compagnie d’un autre condamné âgé de 55 ans et qui attend à son tour son transfert à Bicêtre. Après avoir entendu l’histoire du vieux, le narrateur a échangé, par peur, sa redingote contre la veste du vieillard. Enfin il est reconduit à une chambre dans l’attente de son exécution.
Résumé du chapitre 24

Le narrateur regrette amèrement l’échange de sa redingote qui n’était que par peur.
Résumé du chapitre 25
Le narrateur est amené ensuite à une cellule où on lui a donné une table, une chaise et tout pour écrire. Mais on a installé avec lui un gendarme pour empêcher toute tentative du suicide.
Résumé du chapitre 26

Le narrateur a écrit une lettre à sa fille dans laquelle il exprime toute sa douleur et son amertume. Il accuse les hommes de vouloir laisser une enfant de trois ans orphelin. L’attente de l’exécution semble exercer un effet terrifiant sur le narrateur qui espère un miracle pour le sauver.
Résumé du chapitre 27

Le narrateur est pris dans un tourbillon de peur et de terreur au point où il n’ose pas écrire le mot « guillotine ». il imagine que son exécution sera atroce.
Résumé du chapitre 28

Ayant déjà assisté à une exécution, le narrateur imagine comment sera la sienne. Il croit que les préparatifs ont déjà commencé par le graissage de la rainure.
Résumé du chapitre 29

Dans un moment de délire, le narrateur espère la grâce royale mais en vain
Résumé du chapitre 30 :

Le prêtre est revenu consoler le narrateur et l’assister dans ces derniers moments. Le prêtre qui exerce cette fonction depuis des années se fait renvoyé par le narrateur qui veut rester seul pendant sa réflexion.
Résumé chapitre 31

Dans ces derniers moments de retranchement, l’architecte de la prison est entré dans la cellule où se trouve le narrateur pour prendre des mesures afin de rénover les murs l’année suivante puis il échange des propos avec le narrateur avant de se faire renvoyé par le gendarme.
Résumé du chapitre 32 :

Le gendarme chargé de surveiller le narrateur a été échangé par un autre, un superstitieux et mordu des loteries. Il supplie le narrateur de le visiter dans ces rêves, une fois mort, pour lui donner des numéros gagnants. Le narrateur lui demande en échange ses vêtements en vue d’une éventuelle évasion, mais le gendarme ridicule refuse et le désespoir regagne le narrateur.
Résumé du chapitre 33

Le narrateur sentant l’heure de la mort approcher se réfugie dans le rêve. Il retrouve des souvenirs d’enfance et de jeunesse en compagnie de sa bien-aimée la petite Espagnole Pepa. Il garde surtout le souvenir d’une soirée passée ensemble où ils sont échangés des bises.
Résumé du chapitre 34

Le narrateur retrouve dans le souvenir ses années d’innocence mais il revoit en crime et tente de se repentir. Malheureusement il n’a pas le temps de le faire. Il en pense qu’à son heure qui approche.
Résumé du chapitre 35

Le narrateur envie les gens ordinaires qui vaquent à leurs taches quotidiennes.
Résumé du chapitre 36

Le narrateur se rappelle le jour où il est allé voir la cathédrale Notre-Dame de Paris. Au moment où il est arrivé au sommet de la tour, la cloche a sonné et a fait trembler tout le toit. Heureusement il a évité une chute mortelle.
Résumé du chapitre 37

Le narrateur revoit l’Hôtel de Ville dont l’aspect triste lui rappelle la Grève au moment des exécutions avec les rassemblements des spectateurs.
Résumé du chapitre 38

L’heure de l’exécution approche, il ne lui reste que deux heures et quarante cinq minutes. Le narrateur ressent alors des douleurs physiques atroces.
Résumé du chapitre 39

Le narrateur imagine comment il va vivre le moment de son exécution. Il vit ce moment par prévision. Mais le fait d’y penser le fait souffrir davantage.
Résumé du chapitre 40

Poussé par son instinct de survie , le narrateur pense au roi Charles X en espérant une éventuelle grâce.
Résumé du chapitre 41

Le narrateur décide d’affronter la mort avec courage. Il imagine alors ce que sera sa vie après la mort. Cela pourrait être des abîmes de lumières sans fin ou des gouffres hideux où tout sera noir et où le narrateur tombera sans cesse. Il imagine aussi les morts pourraient se rassembler dans la place de la Gréve pour assister à l’exécution du bourreau par un démon. Le narrateur voudrait savoir ce qu’il adviendra de son âme après la mort. Dans ce moment de crise à l’approche de l’exécution le narrateur réclama un prêtre pour soulager sa douleur
Résumé du chapitre 42

Après l’arrivée du prêtre, le narrateur a dormi pendant quelques instants. Il a fait alors un rêve étrange : il rêve qu’il était chez lui avec des amis, qu’ils avaient parlé de quelque chose qui les avait effrayés puis ils avaient entendu un bruit dans la maison, c’était une vielle femme qui s’était cachée dans la cuisine. Au moment où il a rêvé que la vielle le mordait, il s’est réveillé puis on lui a annoncé la présence de sa fille.
Résumé du chapitre 43

Malheureusement sa fille ne l’a pas reconnu. Elle ne l’a pas vu depuis un an. Il a tenté de lui faire comprendre qu’il est son vrai père mais la fille ne l’a pas cru. Rien ne le rattache à présent à la vie. Il se laisse conduire à la mort docilement.
Résumé du chapitre 44

Pendant l’heure qui lui reste à vivre le narrateur se ressaisit et revoit dans son esprit comment sera son exécution. Il pense au bourreau, à la foule, aux gendarmes et à la place de Grève.
Résumé du chapitre 45

Il imagine la foule en train de l’applaudir, une foule insensible à ses souffrances. Il pense à ce lieu fatal qui est la place de Grève et à toutes les têtes qui tomberaient après lui dans l’indifférence totale.
Résumé du chapitre 46

Il pense à sa fille qui l’a déjà oublié et veut lui écrire une histoire.
Résumé du chapitre 47

Note :

Le narrateur n’avait pas le temps pour écrire son histoire.
Résumé du chapitre 48

L’heure de l’exécution est arrivé, on demande au narrateur de se préparer mais il se sent faible. On l’a emmené dans une chambre au rez-de-chaussée du palais de Justice où son bourreau avec ses deux valets l’attendait. On lui a coupé les cheveux puis on lui a attaché les mains derrière le dos et on a coupé le col de sa chemise ensuite on lui a lié les deux pieds puis on lui a noué les deux manches de sa veste sur le menton. On l’a pris sous les aisselles pour le conduire à la guillotine. La foule est là qui attend hurlante. Les gendarmes, les soldats sont aussi là pour accompagner le condamné. Mis dans une charrette avec le prêtre, le narrateur frémit de peur devant cette foule enragée. Sur le chemin qui mène à la place de Grève la foule s’est attroupée. Sous une pluie fine la charrette passe par le pont- au- Change, par le quai aux Fleurs puis par la coin du Palais. Attiré par une Tour, le narrateur demande au prêtre des informations sur cet édifice. Ce dernier lui a dit qu’elle s’appelle crucifix et le baise pour avoir du courage à affronter la foule qui semble l’effrayer plus que la mort.
Passant par le quai, le narrateur entre dans une sorte d’ivresse qui enveloppe son esprit et le coupe de la réalité au point où il ne distingue plus rien. Son corps commence à sentir la mort. Tout défile devant ses yeux sans qu’il puisse y accorder la moindre attention. Seule la voix de la foule se fait entendre. Enfin la charrette arrive à la place de Gréve, le narrateur demande alors une dernière faveur : écrire ses dernières volontés.
Résumé du dernier chapitre 49

Poussé par son instinct de la survie, le narrateur supplie un commissaire chargé de suivre l’exécution de lui accorder cinq minutes dans l’espoir d’avoir une grâce au dernier moment. Malheureusement on est venu le chercher à quatre heures de l’après-midi pour l’exécuter.
Fin

Résumé du roman La boite à merveilles

1/Résumé général de l'œuvre La boite à merveilles:


Le narrateur adulte, miné par la solitude commence son récit pour mieux comprendre sa solitude qui date depuis toujours. Il présente ensuite les locataires de Dar chouafa : lalla kenza la voyante ( au rez-de-chaussée), Driss el Aouad , sa femme Rahma et leur fille zineb (au premier étage) et fatma Bziouya au deuxième étage).Il évoque le souvenir du bain maure et de sa Boite à Merveilles où les objets qui s'y trouvent lui tiennent compagnie . Puis, il relate le souvenir d'une dispute entre sa mère et Rahma.

En revenant du m'sid , le narrateur trouve sa mère souffrante.. Lalla Aicha son amie, vient lui rendre visite et réussit à la convaincre de rendre visite à Sidi Boughaleb.A la fin de cette visite, sidi Mohamed est griffé par un chat. Fatigué , le petit enfant ne va pas au m'sid et nous décrit les matinées à la maison tout en évoquant l'origine de ses parents, et le souvenir de Driss le teigneux, l'apprenti de son père.

Le narrateur raconte sa journée au Msid . le soir, remarquant que Fatima Bziouiya s'éclaire avec une lampe à pétrole, Lalla Zoubida insiste pour que son mari lui en achete une, ce qui est fait le lendemain. Ensuite, Il évoque le souvenir de la disparition de zineb, et comment sa mère réussit à la retrouver à la maison des Idrissides. Rahma, en guise de louange à Dieu, prépare un repas pour les mendiants. Toutes les voisines y participent de bon cœur
.
Les premiers jours de printemps, Lalla Zoubida et son fils rendent visite à lalla Aicha. Sidi mohamed profite de l'occasion pour jouer avec les enfants des voisins .Lalla Aicha raconte ensuite à son amie les malheurs de son mari avec son associé Abdelkader. Le lendemain, La mère rapporte ce récit malheureux à son mari. Celui-ci va évoquer devant le petit sidi Mohamed le souvenir d'Abdellah l'épicier qui racontait des histoires.

Un mercredi, le Fquih explique à ses élèves ses projets pour Achoura. A la maison, Lalla Zoubida ne se fatigue pas à raconter les malheurs de Lalla Aicha à Fatima, puis à Rahma leur faisant promettre de garder le secret. Ensuite, le narrateur relate le souvenir de la mort de Sidi Md Ben Tahar. Ayant assisté à la scène, le petit enfant fait un cauchemar la nuit.

Pendant les préparatifs pour Achoura au Msid, le fquih organise le travail et forme des équipes. Le petit Sidi Mohamed est nommé chef des frotteurs .Le matin suivant, il accompagne sa mère à la kissaria pour acheter un nouveau gilet. De retour chez lui, sidi Mohamed se dispute avec Zineb.Sa mère se met en colère. Triste et pris de faim,, le petit enfant plonge dans ses rêveries. Le narrateur nous rapporte ensuite l'histoire de Lalla khadija et son mari l'oncle Othman racontée aux voisines par Rahma.

la veille de l'Achoura, les femmes s'achètent des tambours et Sidi Mohamed une trompette. Il participe au Msid aux préparatifs de la fête. Le lendemain , il accompagne son père chez le coiffeur où il écoute sans interêt les conversations des adultes.

Le jour de l'achoura, le petit enfant se réveille tôt et met ses vêtements neufs avant d'aller au m'sid célébrer cette journée exceptionnelle.. Après le repas, Lalla Aicha vient rendre visite à la famille du narrateur.

Après l'Achoura, la vie retrouve sa monotonie. Mais avec les premiers jours de chaleur, la mère déclare la guerre aux punaises. Un jour, le père du narrateur décide d'emmener sa femme et son fils au souk des bijoux pour acheter des bracelets . Accompagnée de Fatma Bziouya, la famille du narrateur arrive au souk des bijoutiers mais le père se trouve le visage tout en sang après une bagarre avec un courtier. Lalla Zoubida,superstitieuse, ne veut plus ces bracelets, elle pense qu'ils portent malheur. La mère raconte à lalla Aicha la mésaventure du souk. Sidi Mohamed tombe malade.

Le père a perdu tout son capital. Il décide de vendre les bracelets et d'aller travailler aux environ de Fès. Sidi Mohamed souffre toujours de fièvre. Le départ du père est véu comme un grand drame . Un jour, la mère rend visite à son amie Lalla Aicha qui lui propose d'aller consulter un devin : Si elArafi .

le narrateur évoque le souvenir du voyant Si Elarafi. Lalla Zoubida rentre chez elle tout en gardant le secret de la visite... elle décide de garder son enfant à la maison et de l'emmener chaque semaine faire la visite d'un marabout.

Un matin elle reçoit la visite d'un envoyé de son mari. Lalla Aicha vient prie son amie de lui rendre visite le lendemain parce qu'elle a des choses à lui raconter.

Chez Lalla Aicha, les femmes discutent. Elle reçoit la visite de Salama, qui raconte son rôle dans le mariage de Si Larbi avec la fille du coiffeur et les problèmes du nouveau couple..

Le narrateur dans ce dernier chapitre raconte le retour de son père. Sidi Mohamed raconte à son père les événements passés pendant son absence. Le père du narrateur apprend que M.Larbi s'est séparé avec sa jeune épouse.. Sidi Mohamed, toujours aussi solitaire qu'au début et aussi rêveur, sort sa boite à merveilles et se laisse bercer par ses rêves...